Le jardin des idées
Citation de Charlène le février 18, 2025, 11:17 pmChasser les habitudes
Lutter contre la solitude
Dire non, dire stop
Assumer, assumer qui je suis
Encore.
Écrire jusqu’à épuiser les idées et les choses à dire.
Profiter de l’élan, le consommer, le consumer
Excitation de tenir un crayon
Vertige de l’infinie possibilité
Des mots qui coulent en moi
Ou plutôt des touches frappées par mes doigts.
Ne jamais perdre mon regard d’enfant
Vraiment.
Se raconter des histoires
Regarder encore les étoiles
Courir dans la neige
S'inspirer de mon amour de l’autre.
Se perdre dans la contemplation du paysage
Taguer ton prénom sur un mur
Cacher cette photo dans nos murs
En riant.
Répéter ton nom dans un murmure
Au soleil couchant
Encore, encore
Danser, rire aux éclats
Élan de vie, tout en énergie
Oser rêver, lancer plus fort
Ne pas baisser les bras devant l’échec,
Cadeau d’un nouvel essai.
Persiste, existe.
T’écouter, m’écouter
Et ne surtout pas se taire
Bâillonner l’homme en noir aux yeux bandés
Instinct de survie tu m’as bien servi
Mais laisse-moi déguster la musicalité de ma vie.
Laisse place à l’élan de vie.
Me ressentir, se connecter et nous raconter
Pour soi, pour se placer dans ce monde, ensemble.
Délier la créativité, la tresser à mon image
À mon rythme, en faire un élément sur lequel s’appuyer.
Toujours.
***
Ne pas laisser un courant d’air froid entrer
quand l’autonomie me quitte
Combler le gouffre qui parfois m’habite.
Tiraillement dans le ventre sans l’autre
Descends, descends.
Remplir les creux laissés par Fantomas
Eh oui l’instinct de survie n’est pas si badass…
L’élan de vie lui est plein
Il est rond et doux, tout en courbes.
Il est un jardin merveilleux,
Dans lequel greffer les nouvelles idées
Les cultiver, les faire grandir
Et parfois les laisser sauvages
Indomptées, pour se développer
Un jardin qui ferme parfois ses grilles
À des horaires imprévisibles.
Mais la plupart du temps qui reçoit
Un jardin secret entouré de murets,
Dans lequel tout est permis.
Un jardin qui invite au partage
Et à l’intimité
Des murs qui protègent
Des regards malveillants
Ceux qui pourraient abimer les idées.
Mais jamais des murs qui enferment.
Il est facile de les réagencer.
Il suffit d’y penser.
Les idées cultivées
Dans ce jardin intérieur
Sont des idées à germer
Qui ne demandent qu’à être offertes.
Les faire grandir en secret
Pour que jamais. Jamais
Elles ne soient bridées.
Avant d’être partagées
Il y en a de toutes les couleurs
Et ça peut sembler incohérent
Mais moi je vois grand
Et ça lui déplait parfois à mon instinct.
Préserver l’énergie
Pour ne pas épuiser l’élan
Fantomas y veille aussi
Il a les clés du jardin.
Mais, jardin chéri,
élan de survie
Je te rendrais ta fougue cent fois
Pour que tu puisses toujours ouvrir tes portes.
Chasser les habitudes
Lutter contre la solitude
Dire non, dire stop
Assumer, assumer qui je suis
Encore.
Écrire jusqu’à épuiser les idées et les choses à dire.
Profiter de l’élan, le consommer, le consumer
Excitation de tenir un crayon
Vertige de l’infinie possibilité
Des mots qui coulent en moi
Ou plutôt des touches frappées par mes doigts.
Ne jamais perdre mon regard d’enfant
Vraiment.
Se raconter des histoires
Regarder encore les étoiles
Courir dans la neige
S'inspirer de mon amour de l’autre.
Se perdre dans la contemplation du paysage
Taguer ton prénom sur un mur
Cacher cette photo dans nos murs
En riant.
Répéter ton nom dans un murmure
Au soleil couchant
Encore, encore
Danser, rire aux éclats
Élan de vie, tout en énergie
Oser rêver, lancer plus fort
Ne pas baisser les bras devant l’échec,
Cadeau d’un nouvel essai.
Persiste, existe.
T’écouter, m’écouter
Et ne surtout pas se taire
Bâillonner l’homme en noir aux yeux bandés
Instinct de survie tu m’as bien servi
Mais laisse-moi déguster la musicalité de ma vie.
Laisse place à l’élan de vie.
Me ressentir, se connecter et nous raconter
Pour soi, pour se placer dans ce monde, ensemble.
Délier la créativité, la tresser à mon image
À mon rythme, en faire un élément sur lequel s’appuyer.
Toujours.
***
Ne pas laisser un courant d’air froid entrer
quand l’autonomie me quitte
Combler le gouffre qui parfois m’habite.
Tiraillement dans le ventre sans l’autre
Descends, descends.
Remplir les creux laissés par Fantomas
Eh oui l’instinct de survie n’est pas si badass…
L’élan de vie lui est plein
Il est rond et doux, tout en courbes.
Il est un jardin merveilleux,
Dans lequel greffer les nouvelles idées
Les cultiver, les faire grandir
Et parfois les laisser sauvages
Indomptées, pour se développer
Un jardin qui ferme parfois ses grilles
À des horaires imprévisibles.
Mais la plupart du temps qui reçoit
Un jardin secret entouré de murets,
Dans lequel tout est permis.
Un jardin qui invite au partage
Et à l’intimité
Des murs qui protègent
Des regards malveillants
Ceux qui pourraient abimer les idées.
Mais jamais des murs qui enferment.
Il est facile de les réagencer.
Il suffit d’y penser.
Les idées cultivées
Dans ce jardin intérieur
Sont des idées à germer
Qui ne demandent qu’à être offertes.
Les faire grandir en secret
Pour que jamais. Jamais
Elles ne soient bridées.
Avant d’être partagées
Il y en a de toutes les couleurs
Et ça peut sembler incohérent
Mais moi je vois grand
Et ça lui déplait parfois à mon instinct.
Préserver l’énergie
Pour ne pas épuiser l’élan
Fantomas y veille aussi
Il a les clés du jardin.
Mais, jardin chéri,
élan de survie
Je te rendrais ta fougue cent fois
Pour que tu puisses toujours ouvrir tes portes.
Citation de Charlotte Cruz le février 25, 2025, 8:01 pmQuel magnifique jardin ! Merci pour ton partage et ta présence sur cet atelier Ô combien puissant et important. Je garde sur mon coeur ces phrases :
Écrire jusqu’à épuiser les idées et les choses à dire.
Profiter de l’élan, le consommer, le consumer
Excitation de tenir un crayon
Vertige de l’infinie possibilité
Des mots qui coulent en moi
Ou plutôt des touches frappées par mes doigts.
Ne jamais perdre mon regard d’enfant
Vraiment.
Se raconter des histoires
Quel magnifique jardin ! Merci pour ton partage et ta présence sur cet atelier Ô combien puissant et important. Je garde sur mon coeur ces phrases :
Écrire jusqu’à épuiser les idées et les choses à dire.
Profiter de l’élan, le consommer, le consumer
Excitation de tenir un crayon
Vertige de l’infinie possibilité
Des mots qui coulent en moi
Ou plutôt des touches frappées par mes doigts.
Ne jamais perdre mon regard d’enfant
Vraiment.
Se raconter des histoires